logo_transparent1.png

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

De Jacques Attali 

Cet ouvrage broché de 327 pages est publié le 16 octobre 2019 chez l’éditeur Fayard.

Quatrième de couverture
"Voici le récit d'un épisode incroyable, trop souvent censuré, de l'histoire de France, de l'histoire de l'Algérie et de celle de la Seconde Guerre mondiale.

1943. Une extraordinaire année de dupes, qui éclaire d'un jour nouveau la situation géopolitique mondiale d'aujourd'hui.
C'est d'abord l'histoire des Juifs d'Algérie qui reçurent, en 1870, la citoyenneté française et qui subirent ensuite des discriminations plus intenses encore que partout ailleurs en France, trouvant leur apogée dans les trois années de domination pétainiste en Algérie.

Par Charles BUNAN

En 1951, à l'Assemblée Générale des Communautés, le Grand Rabbin d'Alger, M. Maurice Eisenbeth (1883-1958) déclarait : "Il nous faut protester et proclamer le droit à la vie pour nos institutions religieuses. Une diaspora sans religion, sans école rabbinique, c’est le renversement des valeurs spirituelles Juives".

La même année le  Grand Rabbin de Bône, M.Rahamim Naouri écrivait "Le Judaïsme algérien traverse une crise de croissance grave. Il est indéniable qu'il cède chaque jour du terrain, à l'indifférence et au scepticisme, voire à d'autres mystiques".

Dans la logique du projet sioniste, on s'attendait à voir affuer vers ISRAEL, une diaspora, la déception fut grande en constatant que jes Juifs algériens participaient à un exode vers la France.

   Cliquer sur l'image pour l'agrandir

                                                                          ⇒   Appel à contributions

Adoptés à Tours, le 24 octobre 1870, les décrets Crémieux comportent une série de textes tous relatifs à l'Algérie.

Ils portent le nom de leur premier signataire, l'avocat et homme politique français, Adolphe Crémieux (1796-1880), ministre de la Justice du Gouvernement de la Défense nationale, chargé des affaires algériennes, et président de la délégation du gouvernement provisoire siégeant à Tours.

L’un d’entre eux portant, le no 136, attribue d'office la citoyenneté française aux " Israélites indigènes",représentant alors35 000 personnes.

Il y a 80 ans, le 15 décembre 1941 a eu lieu l’exécution d’otages au Mont-Valérien.

Dimanche 15 décembre 2019, cet événement est commémoré en partenariat avec l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) et l’association des Fils et Filles des déportés juifs de France (FFDJF).

Les  parmi lesquels 174 Juifs de  Serge Klarsfeld et Léon TSEVERY
Cet ouvrage de 99 pages a été édité et publié en 1995, par l'Association les Fils et filles des déportés juifs de France.
 Visite thématique du site du Mont-Valérien
Rencontre à 14h30 au Mémorial de la Shoah (Auditorium Edmond J. Safra)

Par Charles BUNAN


En 1870, le décret CREMIEUX avait fait rentrer - de façon massive – Les Juifs d'Algérie dans la modemité.

Par cette émancipation, ils passèrent en une généradon d'une condition médiévale à celle de citoyens Français. Avec, il faut bien le dire, un dédin des valeurs et des institutions  Juives.

Particulièrernent à Alger, où en 1958 sur une population de 30 000 Juifs, 200 fréquentent le Talmud Thora.

 

 

Par Charles BUNAN

Quand Baba SALE (1889 – 1984) vivait encore à Erfoud (ville du Maroc), il reçut la visite d'un émissaire du mouvement HABAD, Rabbin Binyanin GORDENSKYgui lui demandait de l’aider, afin d’ouvir des Yéchivot en Afrique du Nord.

Le maître vénéré du TAFILALET (région située au sud-est du Maroc) conseilla de commencer par le Maroc et la Tunisie. Et l'Algérie ?  demanda l’envoyé.

Baba SALE répondit : "L'Algérie est un pays où les forces du mal se sont installées. Aucune Yéchiva ne pourrait réusir, il faut concentrer nos efforts sur les endroits où la sainteté réside encore, c’est à dire le Maroc et la Tunisie."

 ⇒ Affiche représentant Baba Salé, Rabbi Israel Abi’hssira -

        Musée d'art et d'histoire du Judaïsme (Joseph Hirsch)

 

 
 

 

Dimanche 24 novembre 2019 de 14h à 18h30, dans les salons de la mairie du 16e, 100 auteurs vous accueillent pour dédicacer leurs ouvrages.

Espace librairie jeunesse, ateliers de lecture, et  rencontre avec les auteurs, suivie d'une table ronde à 19h sur le thème  "Antisionisme ou Antisémitisme?"

 

     Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Par Charles BUNAN

José Aboulker (Musée de l’ordre de la libération)Pendant la Première Guerre mondiale, la Communauté Juive d’Algérie fut victime en vies humaines. 

La proportion des morts juifs ne fut dépassée par aucune collectivité parmi les nations belligérantes.Roger Carcassonne (Musée de l’ordre de la libération)

D’après les statistiques de Serge KLARSFELD, 76 000 Juifs de France ont été déportés dont environ 24 500 Juifs Français.

Or, sur ce nombre, 15 000 des victimes environ, sont nées en Algérie.

Alors que le débarquement du 8 Novembre 1942 a certainement sauvé les Juifs d'Algérie du même sort.

Jusqu’au 5 janvier 2020, le musée de l’Ordre de la Libération présente une exposition-dossier inédite dédiée à la création et à la diffusion du Chant des partisans.

Dans une des salles d’exposition temporaire, deux pièces phares, la guitare d’Anna Marly et le manuscrit original de l’oeuvre, plongent le visiteur dans l’histoire de ce chant mythique devenu œuvre populaire au fil des décennies

Le 30 mai 1943, Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon écrivent les paroles du Chant des partisans sur trois feuillets et l’intitulent en anglais Underground Song.

Cet ouvrage broché de 400 pages est paru le 17 octobre 2019 aux Editions FIRST

Conférence interactive autour de cet ouvrage
Paris, 13 novembre 2019 de 20H à 23H, Mairie du 16e arr. : 71 avenue Henri Martin, 75116 Paris- 01 40 72 16 16

Présentation de l'éditeur
Une aventure passionnante à la recherche de la Menorah, le plus vieux symbole juif aujourd'hui disparu...

Plus de sept ans après l'enquête qui les a conduits sur les traces du Code d'Esther, Bernard Benyamin et Yohan Perez reçoivent un jour une mystérieuse lettre.

Un admnistrateur de l'association Morial, nous informe que du 12 au 24 novembre 2019, une intéressante exposition présente les Juifs dans la tourmente de la  Grande Guerre.

Cela, au travers de la carte postale ancienne.

Samedi 16 novembre à 15H, cette exposition sera commentée par l'historien Gérard Silvain.

 

       Cliquer sur le visuel pour l'agrandir 

 

 

Par Charles BUNAN

Cette Communauté était sur cette terre depuis 2 000 ansBien des siècles avant l’lslam, antérieurement à la conquête romaine.

Plutôt qu'une chronologie historique,  quelques faits et citations pour situer ce Judaïsme à la fois fervent, aimable et variable.

Après les émeutes anti-juives de Castille (1391) et la 2èrne vague d'émigation (1492), les exilés d'Espagne s'installent dans l’Ouest algérien, ils sont accuellis fraternellement par les Juifs autochtones, mais 100 ans après l'installation, l’osmose ne s’est pas réalisée et les rabbins Sépharades dont Samuel NAHON (1820 – 1870), vont jusqu'à interdire les mariages avec des Juifs  d’Oranie.

Mardi  3 et mercredi 4 décembre 2019 à 20h30, le Théâtre Montansier à Versailles,  présente Jacob, Jacob de Valérie Zenatti

Dyssia Loubatière adapte pour la scène le roman qui raconte le tragique récit initiatique dont un jeune juif d’Algérie est le héros.

Nous sommes en 1944, entre Constantine et l’Alsace.

  Rencontre et dédicace avec Valérie Zenatti à l'issue de la représentation du 3 décembre.

Renseignement pratiques
Théâtre Montansier
13 rue des Réservoirs – 78000 Versailles
01 39 20 16 00

MORIAL - Association loi de 1901 - Le nom MORIAL est déposé à l'INPI © 2011 Tous droits réservés
Site réalisé Avec joomla Conception graphique et développement : Eric WEINSTEIN