logo_transparent1.png

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

Une nouvelle rubrique sur le site : "ALGERIE 60 ANS APRES"

- Pour participer

- Pour consulter les témoignages reçus 

Cliquer sur : lhttps://www.morial.fr/temoignage-60ans-apres.html

 

Témoignage de Mme Gisèle L. native de Médéa, qui nous a autorisé à publier son récit de Lag ba'omer à Médéa (Algérie) en 1913 et des photos personnelles.

Une tradition ancienne nous apprend que l’un des conseillers les plus écoutés du Bey n’était autre que le Rabbin de la ville, cabaliste renommée, "Le grand Rab", Rabbi Yehochoua Elkaïm (1831-1877), dont le tombeau devint le centre du pèlerinage annuel à Lag Baomer ; et son souvenir est encore vivace parmi les Juifs de l’Algérois.

Lecture de la Déclaration d'indépendance par David Ben Gourion, sous le portrait de Theodor Herzl le 14 mai 1948

Le 14 mai 1948, David Ben Gourion proclama l'indépendance de l'Etat d'Israël.

La commémoration de cette déclaration est célébré chaque année par la fête nationale Yom Ha'atzmaout,  le 5 Iyar selon le calendrier hébraïque.
Elle est aussi célébrée dans de nombreuses communautés juives, en France

La Déclaration Balfour

En l'an 5657 (1897) le Premier Congrès Sioniste convoqué par Théodore Herzl, proclama le droit du Peuple juif à sa renaissance nationale sur le sol de sa patrie.

Le jour du Souvenir en Israël (Yom Hazikaron en hébreu), commémore la mémoire de tous ceux qui sont tombés dans la lutte pour le création et la défense de l'Etat d'Israël.

Sidney Saadia Chouraqui, (page 144 de son livre Les raisins d'Alger mûrissent à Jerusalem), raconte le M.A.H.A.L.

Machal est l'acronyme hébreu de Mitnadvé 'Houts Laaretz qui signifie "volontaires venant de l'extérieur d'Israël".

Avant la proclamation de l’Etat et la guerre d’Indépendance, des volontaires juifs d’Europe, d’Amérique, d’Afrique du Nord et de France pour la plupart, s’engagent dans l’Armée de Défense d’Israël.
 

Cette journée à la mémoire des victimes de la Shoah, est un hommage rendu partout dans le monde, aux 6 millions de Juifs morts durant la Seconde Guerre mondiale, victimes des nazis et de leurs collaborateurs. 

La lecture des noms des déportés a été initiée en 1990 par le rabbin Daniel Farhi, l’association des Fils et Filles des Déportés Juifs de France et le Mouvement Juif Libéral de France. 
Organisée par le Mémorial de la Shoah, avec Judaïsme en Mouvement, l’association des Fils et Filles des Déportés Juifs de France et le Consistoire, cette manifestation est placée sous le haut patronage de M. Emmanuel Macron, Président de la République, et sous l’égide de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.

En France, 76 000 Juifs – dont 11 400 enfants – ont été déportés vers les camps de la mort. Seuls 2 600 d’entre eux survécurent.
La date de commémoration de la Shoah (Yom HaShoah en hébreu) a été choisie par l’État d’Israël, dans la seconde moitié du xxe siècle. Initialement conçue pour rendre hommage aux insurgés du ghetto de Varsovie et autres partisans juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle s’étend à l’ensemble des victimes de la politique nazie d'extermination du peuple : la Shoah

DPierre Haïat, préface de Serge Klarsfeld

Avant-propos du Rabbin Daniel Farhi : "Je te promets d’être la mémoire de ta mémoire" (page 28 de l’ouvrage).

Ce livre broché de 222 pages et de format 28x21 cm, est paru le 15 mai 2008 aux éditions Parole et Silence. La lecture du Sefer HaShoah a été organisée par JEM (Judaïsme en mouvement).

Le texte mêle des témoignages et des citations de la Bible et du Talmud : Ce Livre de la Shoah tire son originalité du fait que s'y trouvent réunis de façon complémentaire une Mémoire et un Savoir. 
Pour la première fois est proposé, sous la forme d'un récit commémoratif à caractère religieux, un rituel destiné à perpétuer le souvenir de la Shoah.

    

  Témoignage d’Abraham Paul Benaïm interviewé par l'historien Jacques Bernard Sadon

       

       Avec la participation de l'historien Haïm Saadoun


 


↪  Cliquer sur le visuel, ci-dessous, pour entendre le témoignage 

 

Par le Rabbin Daniel Fahri

Cet ouvrage de 288 pages est paru le 3 janvier 2008, chez l’éditeur Albin Michel

Résumé

Depuis 1974, le rabbin Daniel Farhi a identifié son nom à la mémoire des victimes de la Shoah. Il a notamment, depuis 1990, instauré la célébration en France du Yom Hashoah, la journée commémorative inaugurée en Israël en 1951.

Il a surtout organisé à Paris la lecture publique, ce jour-là, des noms des déportés juifs de France.

Ce recueil contient les "sermons" et allocutions qu'il a prononcés lors de ces commémorations. Pour lire le texte, cliquer sur :


" SERMON PRONONCÉ LE 30 AVRIL 1992, YOM HASHOAH 5752 "

 "Betmo-or"cela ne veut rien dire pour vous ? Pas étonnant.

C'est pourtant ce que nous croyions entendre, nous, tous les gosses de la famille réunis autour de la table, frères et sœurs, cousins, cousines, lorsque grand-père Saïd élevait le plat du Séder à hauteur de son front, avant de le faire passer sur les têtes inclinées des assistants, ceci par trois fois, le soir de Pessah.

"Betmo-or… " et toute la mélodie qui baigne encore mes oreilles pour raconter que "hier nous étions des esclaves, aujourd'hui des affranchis. Ce jour nous sommes ici, l'an prochain libres au pays d'Israël". 

Les renseignements recueillis sur divers sources ont permis à Roger Mettout de compléter sa base de données.

Celle-ci est ainsi passée de 17 000  noms environ à presque 52 300, avec environ 3600 photos (identité - mariage- famille).

Cette nouvelle étude ne sera pas imprimée, mais vous pourrez la consulter à l’aide du lien informatique suivant :

( atention il faut créer un compte heredis pour y avoir  accès)

Si vous n'avez pas de compte sur le site heredis il suffit d'en créer, c'est gratuit 

https://online.heredis.com/login

 

 Une fois votre compte créer et connecté, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et de mettre le code que vous recevrez, 

 

https://online.heredis.com/file/256618/immediate/1

 

Source de l’information : "TLEMCEN

- Mille ans d’histoire d’une communauté juive" de Simon Schwarzfuchs

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Tlemcen s'élève dans la partie occidentale de l'Algérie, non loin de la frontière marocaine, dans un amphithéâtre rocheux naturel : par beau temps, le regard plonge jusqu'à la mer, éloignée de quelques dizaines de kilomètres, et s'efforce de reconnaître sur la côte la petite ville de Beni Saf.

Elle est entourée d'une muraille que percent quelques portes couvertes par des coupoles de pierre. Certaines sont très anciennes, d'autres ont été construites par les Français après leur entrée dans la ville, il y a déjà un siècle et demi.

Par Norbert Bel-Ange

Les menbres de la Hevra Kadisha autour des Hakhmei Hassidra

Les Sages de la Sidra, étaient ces Rabbins venus d'Espagne, ici pour enfin jouir d'un havre de paix après les tribulations et les tourments endurés.

On n'a jamais su vraiment pourquoi on les appelait comme ça. Toutes les légendes à ce propos ne sont qu'imagination.

Il y avait 2 Synagogues qui se sont retrouvées plus tard en plein quartier arabe ; il était donc scabreux de s'y rendre. On en avait alors créé une troisième, plus petite, en quartier européen, dans les années 50, On avait connu dans les temps anciens, les Rabbins David Cohen, Jacob Soussan, Saadia Médioni, Makhlouf Ben Hanin, Abraham Ben Natan le Sépharade, Moché, Yossef et Yehouda Alachkar.

Par Norbert Bel-Ange

1391 marque la premiere grande expulsion des juifs d'Espagne. Et très naturellement, ils recherchèrent une terre qu'ils connaissaient : Le Maghreb. Mostaganem entre autres villes. Les Grands Rabbins espagnols, les grands maîtres, furent du voyage. Anonymes furent les sages de Mostaganem. On les appelle les « Hakhmé Hafsidra », ou les sages de la Sidra.

Nombreuses sont les interprétations que l'on donna à leur nom générique. S'agissait-il du texte étudié chaque semaine à la Synagogue ? De l'arbre à l'ombre duquel ils reposent ? De la haie de jujubiers sauvages protégeant leur dernier sommeil ? On dit que ces sages furent brûlés vifs avec des sefarim attachés sur leur poitrine.

MORIAL - Association loi de 1901 - Le nom MORIAL est déposé à l'INPI © 2011 Tous droits réservés
Site réalisé Avec joomla Conception graphique et développement : Eric WEINSTEIN