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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

 

La Loge KADIMA-MAIMONIDE du B’nai B’rith France, vous invite le mardi 13 juin à 20h30 à la conférence :

"Mémoire et Vérité» : 2000 ans d’histoire juive en Algérie".

Par le Docteur Didier NEBOT, historien et écrivain.

Réservation

Danielle  : 0698205911
Sylvaine : 0660619827

Cet ouvrage de 589 pages a été publié en 2016, illustration de la couverture : «Le mariage juif (1903) de Jozef Israëls (1824-1911)»

Avec cette publication, l’auteure s’adresse à tous ceux qui veulent découvrir, redécouvrir et comprendre la cérémonie du mariage juif. Katy Bisraor Ayache est journaliste. Diplômée de Science Po Paris et de l’Université Hébraïque de Jéruslem, elle vit en Israël où elle couvre l’actualité israélienne notamment pour Radio J. 

Sous forme de questions et réponses, cet ouvrage offre un tour d’horizon du mariage illustré par des proverbes et anecdotes.

La cérémonie du mariage est un des domaines les plus populaires, mais aussi les plus secrets et méconnus du monde juif.

Sarah Halimi est une femme juive assassinée à Paris en 2017.


Cet ouvrage broché de 352 pages a été publié le 1er mars 2023 chez  l’éditeur David Reinharc

250 personnalités en sont les auteurs, sous la direction de Guy Bensoussan, du grand rabbin de France Haïm Korsia et de Michel Gad Wolkowicz.
Quatrième de couverture
Avant que son histoire ne soit réduite à une affaire juridique qui porte désormais son nom, le docteur Sarah Halimi a vécu, aimé, mis trois enfants au monde et pris soin de tant d’autres, comme médecin et directrice d’une crèche.
 

Contribution de Serge DAHAN au livre "L'INVISIBLE DE LA RUE  VAUCOULEURS".

Dans la nuit du 4 avril 2017, à Paris, Madame Sarah Halimi, une femme de confession juive de soixante-cinq ans, est sauvagement assassinée par Kobili Traoré, un musulman radicalisé qui s’acharne sur elle pendant quarante minutes en hurlant Allah akbar ! et en la traitant de sheitan.

Ce crime, d’une violence inouïe, perpétré dans le contexte de la montée de l’antisémitisme en France, est l’expression d’une haine judéophobe et antisioniste.

Contribution de Didier NEBOT au livre "L'INVISIBLE DE LA RUE  VAUCOULEURS".

Tout porte à croire que, jusqu’au second siècle de notre ère, l’Église naissante et la Synagogue ne formaient pratiquement qu’une seule religion. Les chrétiens semblaient être une secte juive, les Romains ne faisant d’ailleurs aucune différence entre eux, chacun tolérant l’autre. Les disciples des apôtres, lorsqu’ils annoncent la Bonne Nouvelle, le font dans les synagogues.

C’est l’époque où le judaïsme, protégé par la politique philosémite des empereurs Sévères, se développe parmi les autochtones en Afrique du Nord.

Cet ouvrage de 64 pages est paru le 24 février 2011, aux Editions Points.

Lorsqu'il arrive à Alger, ce 4 juin 1958, le général de Gaulle est chef du gouvernement depuis quelques jours.

Extrait de son discours prononcé à Alger, le 4 juin 1958
Le Parlement de la IVe République lui a également accordé des pouvoirs spéciaux, notamment pour régler la situation algérienne. Il doit reprendre en main une armée française tentée depuis quelques semaines par un coup d'État contre la République, rassurer les pieds-noirs qui se sentent de plus en plus abandonnés par la métropole et promettre aux populations musulmanes un accès progressif à la citoyenneté française, donc à des responsabilités politiques.

Il sait aussi que la rébellion nationaliste est une réalité dont il faut tenir compte.

Cet ouvrage broché de 1088 pages est paru le 19 mars 2020 chez l’Editeur Éditeur : Robert Laffont dans la collection "Bouquins".

L'œuvre de Benjamin Stora 

Elle se confond pour partie avec la mémoire et l'histoire de la guerre d'Algérie. Un de ses grands thèmes de recherche, intimement lié à son parcours individuel tel qu'il le relate dans trois de ses ouvrages.

- Dans Les Clés retrouvées, il évoque son enfance juive à Constantine et le souvenir d'un monde qu'il a vu s'effondrer ;

- Dans La Dernière Génération d'Octobre, son militantisme marqué très à gauche avec son cortège de désillusions.

Nous célébrerons, dès jeudi soir 25 mai 2023 jusqu’au samedi soir 27 mai 2023 (6 et 7 Sivane 5783), la fête de Chavouoth.

Ces jours commémorent le Don de la Torah, cinquante jours après la sortie d’Egypte.

Que signifie Chavouot ?
Le nom de cette fête vient de l'hébreu signifie "semaines", car elle a lieu après la période du compte de sept semaines depuis Pessa’h, le terme de racine grecque, "pentecôte", correspond aux 50 jours de Pessa'h à Chavouot.

Par Caroline Elisheva REBOUH
Lorsque nous étions enfants, nos camarades de classe non-juifs nous faisaient partager l’effervescence dans laquelle ils se trouvaient car, alors que chez nous, les garçons allaient à "l’Alliance" (ou Talmud Torah) chez les catholiques, ils allaient au catéchisme pour se préparer en vue de leur communion solennelle.

Au mois de mai, les communiantes vêtues de jolies robes en organdi blanc, telles de petites mariées, venaient se faire admirer des camarades de classe.

La journée du 28 Iyar du calendrier hébraïque célèbre la réunification de la ville de JérusalemYom Yérouchalayim : cette année le 19 mai 2023
Elle marque la renaissance spirituelle de la nation juive, après la renaissance physique que marque Yom Haatsmaout.

Jérusalem d’or, est le  titre d’une chanson populaire israélienne, écrite à la veille de la guerre des Six Jours et de la conquête par Tsahal de Jérusalem-Est  écrite par Naomi Shemer en 1967. Après la guerre, elle ajoute un couplet à son poème, pour célébrer l’unification de Jérusalem sous contrôle israélien.

Cette chanson, depuis sa création, a été élevée au rang de symbole et hymne national officieux, très fréquemment jouée lors de cérémonies officielles.

 Par Hubert Habib  

Montage photo représentant Zion Karasenti, Yitzhak Yifat et Haim Oshri, anciens parachutistes israéliens, devant le Mur des Lamentations à Jérusalem le 7 juin 1967, et le 11 mai 2017 photographe : DAVID RUBINGER/MENAHEM KAHANA

Les Soldats de TSAHAL lorsqu’ils sont blessés et atteints dans leur chair, sont aussi HÉROÏQUES devant la souffrance qu’au combat.

 

Leur moral, leur détermination et leur rage de survivre sont uniques et exemplaires. Leur comportement s’inscrit dans une dignité qui appelle à un grand respect.

Ils ont réussi, après d'âpres combats de rue, à atteindre ce Mur Occidental ce 5 Juin 1967.

 

Par Nicole Squinazi Teboul

Yévoussi ou Jérusalem la parfaite
Le seigneur y réside. Ainsi soit-il.

Elle est rassemblement. Beauté rayonnante et satisfaite.
Elle est ville rassemblée. Justice pour ceux de l’exil.
Coteaux du Nord par le ciel contemplés.
Montagne grandement, superbement peuplée.

 

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