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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

Né à Tlemcen (Algérie) le 15/12/1926, Gabriel Bénichou est issu d'une famille juive française.                                             

Il est exclu de l’école à cause des lois anti-juives de Vichy de 1940 et 1941 qui restreignent l’accès à l’enseignement scolaire aux juifs en Algérie.

Sa sœur qui vivait à Marseille a obtenu son acceptation au lycée Saint Charles. Il y passe les années scolaires 1941-1942 et 1942-1943.

Gabriel Bénichou est déporté à Auschwitz-Birkenau le 18/07/1943 par le Convoi n°57 

Fin juillet 1830, les Français qui ont conquis Alger quelques semaines auparavant, se dirigent vers Oran. Les Turcs rendent alors, les Juifs responsables de la signature de l'accord de soumission du régent Hussein Dey le 5 juillet 1830 à Alger

Ils décident  de se livrer au pillage et au massacre de toute la communauté juive avant de fuir la ville.

Selon la tradition, les juifs se réunissent dans les synagogues pour une nuit de prières. Le lendemain, surpris du silence, ils constatent que les Musulmans ont quitté Oran à la nouvelle de l'arrivée imminente des français.

Le 6 Ab, date de cet événement est depuis, considéré comme le Pourim d'Oran.

Le Dayan rav Messaoud Darmon rédigea à cette occasion un poème, ''Mi Kamo'ha'', qui est lu jusqu'à aujourd'hui dans les synagogues de rite oranais le Chabbat qui précède le 6 av.

 

Monument commémoratif du square des Martyrs Juifs du Vélodrome d’hiver

Dans le cadre de la "Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et d’hommage aux Justes de France", une cérémonie officielle se tiendra dimanche 18 juillet 2021, au Monument commémoratif de la rafle du Vel’ d’Hiv, quai de Grenelle 75015 à Paris.

En raison de la crise sanitaire, la commémoration se tient cette année en comité restreint et sans public. En présence d'un membre du gouvernement.

 

Yom Hazikaron est une journée nationale commémorative qui rend hommage aux soldats et civils ayant perdu leur vie dans la défense et la protection de l’État d’Israël.

La Knesset israélienne a établi le 4 Iyar, la veille de Yom Haatsmaout, comme le jour du Souvenir.

Une siréne retentit deux fois au cours de Yom Hazikaron, qui commence la veille au soir.
Une premiére sirène retentissant à 20h : à ce moment toute activité y compris la circulation, cesse immédiatement.

Une publication de l'Institut Européen des Musiques Juives (https://www.iemj.org/)

Si l’auteur des vers de la Hatikva est connu ; Naftali H. Imber, né en Galicie en 1856, l’origine de sa mélodie est infiniment plus énigmatique.

Souvent attribué au compositeur tchèque Smetana (1824-1884) qui l’utilise dans son poème symphonique La Moldau.

Renaissance d’une Nation

Ce 33 tours contient des enregistrements et des documents d’anthologie en rapport avec la création de l’État d’Israël.

 

L’historien Jean Laloum, chercheur au GSRL (EPHE– CNRS), a publié dans le N° 25 de décembre 2016 du Journal des Tournelles, la revue de la communauté constantinoise de la capitale, une étude détaillée des persécutions et déportations des Juifs natifs d’Algérie présents en métropole dans les années noires (1942 – 1944).

Ce numéro comporte uniquement la liste des déportés juifs natifs de Constantine.

Pour lire l'étude compléte, cliquez sur le visuel  

L’historien Jean Laloum, chercheur au GSRL (EPHE– CNRS), a publié dans le N° 26 de novembre 2017 du Journal des Tournelles, la revue de la communauté constantinoise, une étude détaillée des persécutions et déportations des Juifs natifs d’Algérie présents en  métropole dans les années noires (1942 – 1944).

Pour lire l'étude complète, cliquez sur le visuel  

Ce numéro prend en compte la liste des déportés juifs natifs de six localités du Constantinois (Aïn Beïda, Batna, Biskra, Bône, Bordj Bou Arreridj et Bougie).

L’historien Jean Laloum, chercheur au GSRL (EPHE–CNRS), a publié le troisième volet d'une étude détaillée des persécutions et déportations des Juifs natifs du Constantinois présents en  métropole dans les années noires (1942 – 1944).

Pour lire ces études, cliquez sur les visuels  

- N° 137 de mars 2019 de Généalo-J, Revue française de généalogie juive.

N° 26 de novembre 2017 du Journal des Tournelles
- N° 25 de décembre 2016 du Journal des Tournelles
 

“Et vous, montagnes d’Israël, portez vos branches et donnez vos fruits à mon peuple, car ils vont bientôt revenir”  Ezechiel - 36, 8 

Aliyah et  immigration (Le retour en Israël)
Pendant près de 3.000 ans des Juifs vécurent dans les principales villes du Bassin méditerranéen.

En 1945, il y avait environ 900.000 Juifs dans les pays arabes. Plus de 600.000 arrivèrent en Israël et 300.000 s’installèrent en Europe et aux Amériques.
L’Etat d’Israël n’est pas encore créé. L’Agence Juive pour la Palestine avait déjà bâti les infrastructures d’un véritable Etat-Nation, ensemble avec les mouvements des Kibboutzim et Moshavim.

Le PALMAH joue un rôle important dans le déroulement de l’aliyah clandestine 

Source de l’information : Chroniques des communautés juives d’Algérie (pages 288 et 289).

Bateau "Yehouda Halevy" avec l'aimabable autorisation de DAFINA

La filière de l’exode du judaïsme marocain était : Oujda -Marnia – Oran – Alger – Marseille.

En 1947, un cournat migratoire, progressant sans cesse, se dirgea vers la frontière algérienne afin d’émigrer illégalement à bord d’un des bateaux clandestins se rendant en Israël. 
Le projet originel des émissaires de Jérusalem était de faire partir sous une structure bien organisée les jeunes pionniers qui furent préalablement formés dans ce but.
Les moyens de locomotion étaient des plus divers et appropriés aux cirocnstances. Les départs ne s’effectuaient pas par la zone espagnol ou par Tanger, mais surtout par la frontière algérienne.

Ce cycle de cours de 5 séances de 2h aura lieu les mardi à 18:30, du 28 février au 28 mars à l'Association ACTI au 23 bis rue Dufrénoy 75016 Paris..

Joëlle Allouche Benayoun, docteur en psychologie sociale, Maître de conférences. Université Paris XII, analyse les relations entre la minorité juive et la majorité musulmane à partir de l’exemple de l’Algérie, avant et après la conquête française (1830).

Vue contemporaine du site d’Auschwitz-Birkenau © Mémorial de la Shoah

La résolution 60/7 adoptée le 1/11/2005 par l’Assemblée générale des Nations Unies, a décidé que le 27 janvier serait la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste.

Cette date est symbolique : c’est celle de la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau par l'Armée rouge, le 27 janvier 1945.

26 janvier 2017 à la Maison de l'Unesco : 10e cérémonie dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste,  de nombreusesmanifestations sont organisées

- Inauguration officielle de l’exposition Archeologia du Musée d’Etat d’Auschwitz-Birkenau 26 janvier, salles Miró, 14 h 30

L’exposition présentée du 26 janvier au 10 février 2017 propose une sélection d’objets personnels découverts en 1967 lors de fouilles archéologiques effectuées dans la zone des chambres à gaz et du crématorium III du camp de concentration et d’extermination nazi d’Auschwitz-Birkenau.

- Salle II, 19 h 00 avec des allocutions de personnalités, d’un témoignage, d’un concert et de prières par le Grand Rabbin Olivier Kaufmann (El Malé Rachamim et Kaddish)

Voir le programme complet 

http://www.unesco.org/new/fileadmin/MULTIMEDIA/HQ/ED/pdf/UNESCO-Holocaust-remembrande-day-2017-agenda-en.pdf

Pour en savoir plus

http://www.unesco.org/new/fr/in-memory-of-the-victims-of-the-holocaust
http://www.journee-mondiale.com/143/journee-de-la-memoire-de-l-holocauste-et-de-la-prevention-des-crimes-contre-l-humanite.htmhttp://www.memorialdelashoah.org/journee-internationale-dediee-a-memoire-victimes-de-lholocauste-a-lunesco

Renseignements pratiques

Mémorial de la Shoah
17, rue Geoffroy l’Asnier - 75004 Paris
Tél : + 33 (0)1 42 77 44 72
contact@memorialdelashoah.org

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Le 13 janvier 1898, Emile Zola qui voulait protester contre la condamnation du capitaine Dreyfus, victime de l'antisémitisme, publie dans le journal l’Aurore, son appel "J'Accuse" sous la forme d'une lettre ouverte au président de la République Française, Félix Faure.

 

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