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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

31 mars 1492 - 31 mars 2021 : il y a 519 ans, était signé le décret d'expulsion des Juifs d'Espagne.

Le décret de l’Alhambra met fin à 1500 ans de vie juive en Espagne

Jusqu’à début août 1492, environ 185 000 Juifs choisiront la route de l’Exil, dont près de la moitié iront dans l’empire ottoman, 20 000 mourront en chemin, 50 000 se convertiront.En 1479, Ferdinand V et Isabelle la Catholique fondent l’Inquisition espagnole. Le 20 mars 1492, Torquemada, chef inquisiteur de toute l’Espagne présente à Ferdinand et Isabelle son projet d’expulsion des Juifs d’Espagne. 

   Fac-similé du décret de l’Alhambra

«… Nous avons décidé d'ordonner à tous les juifs, hommes et femmes, de quitter nos royaumes et de ne jamais y retourner… à la date du 31 juillet 1492 et ne plus rentrer sous peine de mort et de confiscation de leurs biens… »

Le décret signé le 31 mars  à l’Alhambra de Grenademet fin à 1500 ans de vie juive en Espagne.

La majeure partie des réfugiés gagne le Maghreb et s’installe dans les régions de Fès, Tétouan et Tlemcen, et le long du littoral méditerranéen (Oran, Alger et Tunis). Les exilés intègrent les communautés existantes. S’ils préservent leurs coutumes, ils adoptent rapidement les langues locales.

Des rabbins séfarades (Isaac ben Sheshet BarfatSimon ben Tsemah DuranEfrayim Encaoua), deviennent les rénovateurs et les guides spirituels du judaïsme maghrébin alors sur le déclin.

Jusqu’à début août, environ 185 000 Juifs choisiront la route de l’Exil.  près de la moitié iront dans l’empire ottoman, 20 000 mourront en chemin, 50 000 se convertiront. Déclenchées par les persécutions chrétiennes de Séville, de Catalogne et de Majorque (1391), puis par les expulsions d’Espagne (1492) et du Portugal (1497), les vagues d’immigration séfarade bouleversent la géographie de la diaspora juive.

 
 

Commentaires   

0 # Michel Zaffran 23-07-2018 05:27
Message à l’attention de Didier Nebot

Bonjour
Dans votre roman historique historique vous utilisée le patronyme Eli ben Zaffran pour nommer le rabin porte parole des prisonniers

Pouvez vous me dire si vous avez des documents faisant référence à ce patronyme ou bien est ce juste une invention de l’auteur

Merci d’avance
Michel Zaffran
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0 # nebot 26-07-2018 18:07
Cher Monsieur Zaffran,

Cette histoire est réelle le bateau s'appelait vraiment "Dieu le veut".. Le rabbin non, je ne crois pas. Il faut que je vérifie dans mes archives
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