Littérature
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De Benjamin STORA
À travers le regard d’un enfant devenu historien, l'auteur restitue avec émotion un monde perdu : celui des Juifs d’Algérie.
Cet ouvrage de 152 pages, est paru le 18/03/2015 aux éditions Stock dans la collection : Essais – Documents.
Des clés retrouvées ouvrent les portes de la mémoire : la guerre (1955), le départ (1962)….
Lorsque la mère de Benjamin Stora est décédée en 2000, il a découvert, au fond du tiroir de sa table de nuit, les clés de leur appartement de Constantine, quitté en 1962.
La guerre est un bruit de fond qui s’amplifie soudain.
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Cet ouvrage de 92 pages parait le 8 décembre 2014 aux éditions Acoria
Un récit initiatique, une traversée du désert au sens propre
Ce conte oublié parmi mille et un autres entraîne le lecteur à la brutale rencontre du mythe et de l'Histoire.
Un jeune bédouin, une sorcière guerrière et un invisible ermite nous emmènent sur d'anciennes pistes que le vent a effacées, là-bas, à l'est, vers le levant, dans des lieux désormais privés de magie, où l'Algérie était française, le conte oriental et l'amour éternel.
Tahar Mazouz
L’auteur est né en 1961 à Aumale en Algérie d'un père harki, débarqué et trimballé de camp en camp. Il découvre son véritable épanouissement à l'école.
Deuxième prix national d'un concours de poésie avec Ouvrier des étoiles en 2007, il est également l'auteur d'un essai : Un demi-pain et un livre (Éditions Kirographaires, 2012).
Source de l’information
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Yossef Charvit, né en 1957 à Constantine, vit en Israël depuis 1970. Il enseigne l’histoire juive à l’université de Bar Ilan et dans d’autres institutions d’enseignement supérieur.
Il est co-fondateur et directeur de l’Institut Gaï Yinnassé, pour la recherche du patrimoine des Juifs d’Algérie (en la mémoire du Rav Yossef Renassia).
Spécialiste de l’histoire juive Maghrébine, Yossef est l’auteur de plusieurs recherches et ouvrages dont, “La France, l’élite rabbinique d’Algérie et la Terre Sainte au XIXème siècle - Tradition et Modernité” (Honoré Champion – Sorbonne Paris IV, Paris, 2005).
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En fait, il n'y avait pas vraiment de raisins à Alger, il fallait sortir de la ville et gagner vers l'Ouest a plaine de la Mitidja, de Staouéli à Zéralda pour trouver des vignes.
Mais les raisins dont je veux parler ici étaient ceux des coteaux de Médéa, une petite ville du Sud, sur la ligne Alger-Boghari Bou-Saada-Djelfa, qui fut, pour l'essentiel, le berceau des familles Chouraqui/Cherqui.