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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

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L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

Article de Salim Mesbah publié dans El Watan du 17 juin 2011, communiqué par Sidney Chouraqui (voir ci-dessous : "Pour en savoir plus")

 

Portrait de l’ Emir Abdelkader - Copyright © 2015.h24 algerie

Slimane Zeghidour, rédacteur en chef à TV5 Monde et chercheur associé à l’Institut de recherches internationales et stratégiques à Paris, relate l’exode des milliers d’Algériens qui ont rejoint au XIXe siècle l’Emir Abdelkader au Proche-Orient, fuyant la colonisation française. 

Il rappelle le parcours de l’arrière-petit-fils de l’Emir Abdelkader, Abderrazak Abdelkader, qui est enterré dans un cimetière en Israël.

Abderrazak Abdelkader prend fait et cause pour le sionisme

Abderrazak est un personnage qu’on pourrait qualifier d’atypique. C’était un marxiste-léniniste qui avait publié deux essais aux éditions Maspero : Le conflit judéo-arabe et Le monde arabe à la veille d’un tournant.

Au nom de ce marxisme-léninisme, il va s’intéresser au sionisme comme forme de socialisme libertaire, qu’il considère comme porteur des germes de la libération, au contraire des sociétés arabes gouvernées par des potentats autoritaires. 

De retour en Algérie en 1962, il va essayer de créer un maquis d’opposition au président Ben Bella. Il sera arrêté en 1963 et expulsé du pays. 

Lors d’une interview au journal Koul al arab, il raconte comment, dès 1948, il a apporté son aide au Palmach, la milice juive pour la création d’un Etat israélien

Il a ensuite tenté de s’installer dans un kibboutz, mais cela lui a été refusé et il a terminé sa vie dans une roulotte, dans le village de Majdel, un village algérien avant de devenir Israélien.

Tout au long de sa vie, il écrira des articles dans la presse à la gloire du sionisme et contre le processus de paix.

Il mourut en 1978 et seul le kibboutz d’Afakim, pas loin de l’ancien village algérien de Samakh, accepta d’accueillir sa tombe sur laquelle est gravé le nom de Dov Golan, qui signifie « l’ours du Golan ».

Selon son souhait, il n’est pas enterré la tête dirigée vers La Mecque, mais vers le Golan.

Source de l’information 

Article de Salim Mesbah publié dans El Watan le 17 juin 2011

Pour en savoir plus

http://www.morial.fr/index.php/moriel-israel/573-les-raisins-d-alger-murissent-a-jerusalem-de-sidney-chouraqui

http://www.miages-djebels.org/spip.php?article209

  
http://blog.lefigaro.fr/algerie/2012/07/algerie-syrie-les-vestiges-du-reve-arabe.html

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