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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

Depuis la libération, trois maîtres ont éclairé la pensée Juive en France : les professeurs André NEHER, Emmanuel LEVINAS et Rav Léon ASHKENASI (MANITOU).

Léon ASHKENASI (MANITOU) et Charles BUNAN

Lors de la levée du corps, l'Ancien Grand Rabbin d'Israël Mordechaï ELIAHOU disait de MANITOU : qu’il était un géant dont la grandeur n'avait d’égale que la modestie, et en cela, il rejoignait MOSHE Avenou dans cette HANAVA.

Parmi les très nombreux télégrammes on pouvait relever deux dominantes : l'implession de vide et pour certains la recherche de nouveaux repères.

C’est MANITOU  qui le premier avait organisé l'enseignement ouvert à tous : il prônait un Judaïsme aimable et souriant, sans exclusion, dont la centralité était ISRAEL.

Lors de la cérémonie des 25 ans du CUEJ (Centre Universitaired’Etucles Juives), le professeur  Addy STEGG nous faisait revivre l'ambiance des confërences de MANITOU au centre Edmond Fleg, dans les années 50.

Les étudiants arrivaient bien à l'avance pour pouvoir être assis, et quand la salle était pleine, on fermait les portes. Ceux qui ne pouvaient y accéder restaient à l'extérieur, l'oreille collée à la vitre ; dehors il faisait froid et parfois il neigeait.

Quand il avait appris qu’à Paris, il y avait trois ou quatre niveaux de cacherout, il a  dit : " La cacherout a été instaurée pour séparer les Juifs des autres et aujourd'hui elle sépare les Juifs des Juifs".

En faisant appel à ma mémoire, voici un chant qu’il composa pour les EIF. en 1942, pleine tourmente, à un moment où même l'Espoir nous abandonnait et où pourtant cemot nous faisait rêver... PALESTINE.

"Planté dans notre cœur, ou vibrant sur nos têtes
Portons le fièrement l'Etendard d’ISRAEL
Mes frères, en avant que rien ne nous arrête
Peuple de l'Eternel
Que ce soit un flambeau, dont l'éclatante flamme
En source jaillira pour guider les nations.
Flambeau, dont la lumière éblouissant nos âmes
Aux foules décrira la beauté de Sion
Qu'il annonce et proclame à travers monts et plaines
 Comme aux jours de bonheur, grands jours cent fois bénis
 qu'Israël, vit toujours malgré toutes ses peines
et qu'Israël vivra malgré ses ennemis"
.

Que son enseignement nous éclaire et que sa mémoire soit bénie !

Charles BUNAN

 
 

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