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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

À la fin du XVIIIe siècle, la Régence d’Alger s’affranchit progressivement de l’emprise ottomane

Présentation à l'Impératrice des jeunes filles juives et mauresques, dans la grande salle du palais du gouvernement - Photo © mahJ

En 1805, à Alger, la famine déclenche une révolte contre le Dey au cours de laquelle plusieurs notables de la communauté juive sont assassinés.
Avec le début de la conquête française en 1830, les dirigeants du judaïsme français se préoccupent du sort des juifs d’Algérie. Soutenu par quelques notables locaux, le Consistoire central des israélites de France entreprend de fonder des écoles pour les enfants juifs et les dirigeants français dépêchent des observateurs chargés d’effectuer un rapport sur l’état des communautés en vue de leur émancipation (Rapport Altaras et Cohen).

Le Second Empire poursuit la politique de colonisation tout en limitant les effets de cette dernière sur les sujets « indigènes ». En 1860 et 1865, Napoléon III voyage en Algérie et reçoit des délégations locales, européennes, musulmanes et juives. Il se déclare favorable à l’intégration progressive des « indigènes » dont celle des juifs d’Algérie. Le sénatus-consulte du 14 juillet 1865 autorisant les « indigènes » à demander à titre individuel la citoyenneté française ne rencontre cependant pas le succès escompté: peu de juifs indigènes useront de cette disposition légale.

En 1870, Adolphe Crémieux, ministre de la Justice au sein du gouvernement provisoire obtient la promulgation de plusieurs décrets dont celui naturalisant collectivement les juifs d’Algérie (décret Crémieux).

L’organisation consistoriale française va servir de modèle à l’organisation des communautés juives d’Algérie dès 1845.

Dans les principales villes d’Algérie, de grandes synagogues, bâties sur des modèles français, sont édifiées. Cependant, des conflits opposent les notables locaux francisés, et les rabbins français aux rabbins et aux communautés indigènes. Aux préjugés des premiers s’oppose la résistance des seconds.

Source de l’information :

Dossier de presse de l’exposition "Juifs d’Algérie"  © mahJ

 

 

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