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Du 10 mars au 25 avril 2015, le Théâtre 14 à Paris, présente cette pièce originale de Jean-Marie Besset, écrite en 2011 à partir de personnages et d'évènements du XVIIe siècle français.
Le Banquet d'Auteuil présente des personnages historiques, dans une langue réinventée
Mais avec des thèmes que seule l'époque actuelle peut aborder de front : la rivalité d'hommes mariés pour l'amour, le désir, la beauté et le talent de jeunes gens.
En respectant les unités classiques {l'action se déroule en 24 heures chez Molière dans sa maison d'Auteuil), la pièce est résolument moderne dans la sincérité, l'âpreté et la cruauté des rapports, qu'ils soient de désir ou d'ambition, pour ne pas dire d'argent et de carrière.
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Du 20 au 23 Mars 2015, Porte de Versailles, le salon du livre de Paris est à la fois un événement populaire attendu par le grand public français et un rassemblement international de premier plan pour les professionnels de la chaîne du livre
Comme chaque année, vous pourrez découvrir sur le stand israélien R-67 les dernières parutions de la littérature israélienne traduits en français ainsi que des ouvrages en hébreu.
Pour en savoir plus
coolisrael.fr/22308/salon-du-livre-2015-rendez-vous-au-stand-de-litterature-israelienne-r-67
Renseignements pratiques
http://www.salondulivreparis.com/A-la-une/Informations-pratiques.htm
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Du 4 mars au 28 juin 2015, le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme, propose une l’exposition avec plus de 300 œuvres et documents, dont de nombreux inédits.
Issus de collections publiques et privées, ils attestent la continuité jusqu’à nos jours des croyances dans la magie.
Provenant du Proche-Orient ancien, de l’Empire romain, de Byzance, de l’empire Ottoman, ainsi que d’Asie centrale, du Moyen-Orient, du Maghreb et du monde ashkénaze du Moyen Âge à nos jours : recueils de recettes, amulettes, colliers, pendentifs, hamsot, bracelets, vêtements contre le " mauvais œil", bols incantatoires...
Paradoxalement, dans un monde religieux régi par la Torah, le Talmud et de nombreuses prescriptions rabbiniques, les pratiques « magiques » sont encore vivantes. Et si l’on connait bien leur fortune littéraire – les dibbouks, inspirèrent à Shalom An-Ski une pièce fondamentale du théâtre yiddish ; Gustave Meyrink tira du mythe du Golem un roman qui irriguera l’imaginaire du XXe siècle, quant à Lilit, elle est omniprésente dans l’art et la littérature depuis le XIXe siècle – on ignore le plus souvent leurs sources.
S’appuyant sur les recherches les plus récentes des anthropologues, l’exposition traite le sujet dans une scénographie audacieuse
Elle éclaire les rapports des rabbins avec les kabbalistes pratiques et met en évidence le rôle des leaders spirituels dans la transmission du savoir magique. Elle montre comment les autorités religieuses ont encadré ces usages à défaut de pouvoir les interdire.
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L’acteur français né le 20 octobre 1925 à Alger, est décédé le 10 février 2015, à l'âge de 89 ans. Doyens du cinéma français, il a succombé mercredi matin à une détresse respiratoire selon l'AFP.
Né à Alger, de son vrai nom Roger Jacob Lévy
Roger Hanin au festival de Cannes 1997Roger Hanin, arrive à Paris à 19 ans, en 1944, pour faire des études en pharmacie mais entame très vite une carrière de comédien.
Large d’épaules, verbe haut, il en imposait. Son parcours artistique couvre plus d’un demi-siècle de cinéma et de télévision, sans compter une œuvre de romancier et d’homme de théâtre.
Roger Hanin, sera enterré à Alger
C'est ce qu'a annoncé Alexandre Acardy, le réalisateur du film "Coup de sirocco", ami de l'acteur, dans l'émission C à Vous. Il a confié sur France 5, mercredi 11 février 2015 que l’acteur allait être inhumé dans le cimetière de Saint-Eugène, dans la banlieue d'Alger.
Pour en savoir plus
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Le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme présente jusqu’au 26 juillet 2015 un essai photographique qui retrace l’expérience féminine au sein des différentes communautés du judaïsme contemporain (orthodoxes, traditionnelles, massorti, libérales...).
Myriam Tangi explore, à travers une cinquantaine de photographies, la séparation opérée dans la synagogue entre l’espace réservé aux hommes et celui réservé aux femmes, soit en hébreu la mehitza (division). L'artiste a reçu de nombreuses récompenses, parmi lesquelles un prix de l’Académie française et un autre de la fondation de la Vocation. Elle a exposé dans de nombreux pays.
Paris, 2007 © Myriam Tangi-Synagogue-Tephilat-IsraeLes femmes ont un accès indirect au rituel synagogal
Elles sont traditionnellement reléguées derrière des voiles, des claustras, des parois translucides, ou surplombant l’espace liturgique depuis un balcon situé à l’étage.
Cette distance contrainte, Myriam Tangi s’en empare, non pour dénoncer une discrimination, mais pour construire une vision différenciée et un projet artistique où se conjuguent ses recherches formelles et un récit puisant aux sources du judaïsme.
Renseignements pratiques
Musée d'art et d'histoire du Judaïsme - Auditorium
Hôtel de Saint-Aignan, 71, rue du Temple, 75003 Paris
www.mahj.org
01 53 01 86 48
reservations@mahj.org