Le livre d'or des Israélites algériens recueil de renseignements inédits et authentiques sur les principaux négociants juifs d'Alger pendant la période turque
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par J. M. Haddey 1871
de J.M. Haddey constitue une référence incontournable pour quiconque s'intéresse à l'histoire économique et sociale des communautés juives en Afrique du Nord, et plus particulièrement à celle d'Alger sous domination ottomane. Cet ouvrage pionnier offre une analyse détaillée et nuancée du rôle prépondérant que les négociants juifs ont joué dans le développement du commerce algérois et dans l'insertion de la ville dans les réseaux commerciaux méditerranéens.
Le Livre d'or des Israélites algériensUne source primaire d'une richesse exceptionnelle
En s'appuyant sur des sources inédites et authentiques, Haddey dresse des portraits précis et vivants de ces acteurs économiques clés. Les biographies détaillées qu'il propose permettent de reconstituer les trajectoires individuelles, les stratégies commerciales et les réseaux relationnels de ces négociants, offrant ainsi une vision microéconomique particulièrement éclairante.
Les Juifs de l'Afrique du Nord Démographie et Onomastique
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Par Maurice Eisenbeth, edité en 1936
Grand rabbin de Constantine (1928-1932), grand rabbin d'Alger (1932-1941), puis grand rabbin délégué pour l'Algérie. - Officier de la Légion d'honneur
Ce livre explore un sujet fascinant et complexe : la démographie et l'onomastique des Juifs d'Afrique du Nord.
L'ouvrage examine attentivement l'évolution des populations juives dans cette région, mettant en lumière les facteurs qui ont influencé leur croissance, leur migration et leur distribution géographique. Il analyse également en détail les noms de famille juifs d'Afrique du Nord, mettant en évidence leur signification, leur origine et leur évolution à travers le temps.
L'étude des noms de famille offre un aperçu précieux sur l'histoire et la culture des communautés juives. Elle permet de retracer les migrations, les métiers, les lieux d'origine et même les événements historiques qui ont marqué ces populations. L'analyse onomastique permet de reconstituer les liens familiaux, tribaux et communautaires, offrant ainsi une perspective unique sur l'organisation sociale des Juifs d'Afrique du Nord.
Inscriptions Tumulaires des Anciens Cimetières Israélites d'Alger
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Par le grand rabbin d'Alger, Isaac Bloch, historien et gardien de la mémoire juive algérienne
L'ouvrage "Inscriptions Tumulaires des Anciens Cimetières Israélites d'Alger", publié en 1888 par Isaac Bloch, Grand Rabbin d'Alger, est bien plus qu'une simple collection d'épitaphes. Il représente un travail d'historien méticuleux et passionné, cherchant à reconstruire le passé d'une communauté face au manque de documentation.
Le livre est une véritable mine d'informations sur la vie sociale, culturelle et religieuse de la communauté juive d'Alger à travers l'histoire de ses cimetières. Bloch s'appuie sur une variété de sources, des actes de propriété aux témoignages, et offre une analyse approfondie des inscriptions tumulaires, traduisant les épitaphes et retraçant la biographie des défunts.
L'auteur nous guide à travers les trois cimetières israélites d'Alger de l'époque : Ribasch, Midrasch et Bacri. Chacun d'eux est présenté avec son histoire, ses particularités et les personnages importants qui y reposent. On y découvre des rabbins érudits, des commerçants prospères, des philanthropes généreux, mais aussi des victimes de la peste et des persécutions.
Le cimetière israélite de Tlemcen
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Par Moise Weil, Rabbin de Tlemcen, publié en 1881.
L’Alya Oubliée – les Juifs Maghrébins au début du XIXème siècle 16/12/2024 :19h conférence Zoom avec le Prof. Yossef Charvit
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Jeudi 12 décembre à 19h (heure française)
Avec L'Organisation Sioniste Mondiale
Assistez à une conférence Zoom avec le Prof. Yossef Charvit,
qui nous parlera de l’Alya oubliée des Juifs d’Afrique du Nord.
https://form.jotform.com/243292632971360
(lien d’inscription ci-dessus)
Concert transmosaik: Hanina mariage séfarade (Décembre 2024)
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Hanina, spéctacle musical proposé par la Compagnie Transmosaïk, actualise les chants de noces séfarades de l'Ex-Empire Ottoman.
dimanche 15/12/2024, 17:00h, Durée: 1h15
Maison de la Culture juive de Nogent, 20 Rue André Pontier, 94130 Nogent-sur-Marne, France
PAF 15€ - TR Jeunes 10€
Billetterie, - billetterie également sur place le jour du concert
Transmosaïk L'album "Méditerranéenne"
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A travers la connaissance de nos patrimoines historiques et leurs plus belles expressions musicales populaires,
Transmosaïk est ravie de vous présenter le clip El-Djezaïr du premier album de Yaël Morciano, Méditerranéenne et vous invite à découvrir sa campagne de dons participatifs.
L'album Méditerranéenne,
on a besoin de votre soutien pour être finalisé à l'horizon 2025.
Cet album vous plongera au cœur des chansons d'exil et des chansons judéo-arabes et franco-arabes ayant animé les cabarets d'antan en France, Algérie, Tunisie...
Profanation de la grande Synagogue d’Alger : information juive (3)
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Aprés la profanation de la grande Synagogue d’Alger (12 décembre 1960)
N°126 de janvier 1961
A l’appel de M. David Askenazi, Grand Rabbin de la Fédération des Communautés Israelites d’Algérie, les juifs d’Alger ont observé, le 26 décembre, un jeûne collectif en signe de deuil et de désolation à la suite de la profanation et du saccage de la grande synagogue d’Alger dans les conditions que l'on sait.
Une foule immense de fidèles s’est rendue au cimetière, où, après la récitation des psaumes, les rouleaux de la loi et les objets du culte saccagés ont été enterrés suivant les prescriptions consacrées, dans le carré où sont inhumés tous les Grands de la Thora,
INAUGURATION DE LA GRANDE SYNAGOGUE D'ALGER (19/09/1865)
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Par Albert BENSOUSSAN
Le 19 septembre 1865, a eu lieu l'inauguration solennelle de la Grande Synagogue d'Alger, située rue Caton (nomée plus tard rue Randon, puis rue du G-R Abraham Bloch).
Construit depuis longtemps, ce monument n'a été délivré à la Communauté israélite que depuis quelques années seulement. Les travaux accessoires viennent à peine d'être achevés.
L'extérieur du nouveau Temple n'offre rien de bien remarquable; l'intérieur, au contraire, a tout pour plaire. C'est un carré surmonté d'une magnifique coupole qui donne à cette partie de l'édifice un aspect véritablement grandiose.
L'architecture en est simple et sévère, l'ornement ne manque pas d'élégance et se marie heureusement avec quelques arabesques.
La Grande Synagogue d'Alger
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Par Albert Bensoussan
Cette Synagogue, la plus belle de la communauté d'Alger, avait été édifiée par Napoléon III (au 19e siècle) sur un terrain libre — Place Randon, plus tard Place du Grand-Rabbin Abraham Bloch — et remise à la communauté.
Tous la considéraient comme un joyau architectural : extérieurement, l'édifice à deux étages, tout blanc et de style mauresque, présente grande porte sur toute la façade et deux petites portes, de part et d'autre, toutes en bois massif.
La profanation de la Grande Synagogue d’Alger
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Nous nous souviendrons longtemps de ce lundi 12 décembre 1960
Dès 13 heures, grâce à notre uniforme d'aumônier et à notre véhicule militaire, avec notre collègue B. Choukroun, et ce au prix d'un témérité qui nous mettait à la merci des coups de certains exaltés, nous réussissions sans escorte à nous frayer un passage dans ce flot humain, jusqu'à la Grande Synagogue.
Une véritable marée humaine y entrait et en sortait. Notre voiture ne pouvait aller plus loin…
La Grande Synagogue d’Alger après 1962
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Le professeur Paul Fenton a attiré notre attention sur le fait que depuis sa profanation en tant que lieu de culte israélite en 1960, la Grande Synagogue d'Alger, inaugurée en 1850 face au marché Randon, a été convertie en mosquée et "rebaptisée" : Jâmi' Ben Fâris.
En 1962 on lui a ajouté un minaret. Malgré ce nom donné par les autorités, la population continue toujours à l'appeler Jâmi' al-yahoud, ce qui signifie littéralement la "Mosquée des Juifs" !
Paracha VAYICHLA’H
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Lecture de la Torah, Vayichla'h : Genèse 32:4 - 36:43 - Lecture 14 décembre 2024 / 13 Kislev 5785
LE LANGAGE DES ANGES par Caroline Elishéva REBOUH
Le début de cette lecture nous apprend que Jacob abandonnant le domicile de Lavan à Haran avec ses femmes et ses enfants, ses employés et ses troupeaux, se prépare à la rencontre si redoutée avec son frère Esaü.
Les premiers versets de la parasha énoncent que Jacob, en chemin, vit des anges et nomma ce lieu "Mahanayim [1]".